Contrat, salaire, le PSG et João Neves ont trouvé un accord

Le transfert de João Neves au PSG se précise de plus en plus, avec un dénouement attendu d'ici à la fin de la semaine comme expliqué au Portugal ces derniers jours, et les médias locaux évoquent encore le sujet ce mercredi après-midi. Selon A Bola, journal sportif lisboète censé être le plus proche du Benfica, les deux clubs sont en train de régler les derniers détails du transfert, notamment sur le plan financier.

Comme l'explique le journal, « à cet instant, tout indique que le deal va se concrétiser » et l'offre de 70 millions d'euros du PSG, dont 10 de bonus, devrait être acceptée. Le montant définitif n'est toutefois pas encore certain et toutes les parties discutent de la façon dont les paiements vont être effectués et à quelles dates, ce qui peut parfois prendre du temps au Portugal. Mais l'adieu de João Neves à son club formateur semble en revanche certain.

Des sources au Portugal ont annoncé une possible communication du joueur pour annoncer la nouvelle à ses fans, mais rien n'a pour l'heure été confirmé. A Bola assure en revanche qu'il n'est plus vraiment question de voir revenir le milieu de 19 ans à l'entraînement vendredi prochain comme c'était initialement prévu. Au contraire, João Neves a trouvé un accord avec le PSG concernant les conditions de son futur contrat à Paris d'après le journal portugais.

Le contrat de João Neves au PSG se précise

Selon A Bola, Neves va signer pour cinq ans, soit jusqu'en juin 2029, mais il pourrait y avoir une option pour une année supplémentaire, ce que le PSG a parfois fait dans les contrats récemment signés (Zaïre-Emery et Marquinhos notamment). Le salaire de João Neves au PSG serait de cinq millions d'euros annuels, une somme qui le place dans le milieu de la hiérarchie du club parisien mais qui lui permet de faire un énorme bond en avant personnel.

Au cours de la saison écoulée, le milieu de 19 ans gagnait 500 000€ par an et le Benfica lui proposait une prolongation avec un salaire d'un million par an. A Paris, il va donc gagner cinq fois plus, mais aura la pression d'un énorme transfert sur les épaules.